L'histoire de la Saison 2021
C’est reparti pour un tour. Comme le surfeur venant de réussir avec succès sa prise de vague et retournant vers le large pour en prendre une autre. La Ganach Surf School » continue son aventure plus déterminée que jamais pour 2022. Il faut bien noter que l’engouement envers l’école en 2021 en est la raison principale. C’est grâce à vous tous et toutes que le moniteur en redemande.
La Saison 2021 et ses embûches
Il est vrai que si l’aventure a été semée d’embûches (ou de racines) et qu’il n’est pas de tout repos de monter sa petite entreprise, il n’y a rien de plus valorisant que de réussir ce que l’on entreprend !
De nombreuses difficultés ont été rencontrées durant cette première édition. Nous allons en aborder quelques-unes.
Pour commencer, parlons du chariot. Celui qu’il tirait à bout de bras dans le sable avec la montagne de planche par-dessus. Il n’a pas toujours réussi à remplir sa mission.
Il faut dire qu’il a souffert des charges importantes, subi l’entêtement de son maître à vouloir le faire rouler peu importe sa fatigue.
Il a failli à plusieurs reprises demandant parfois (mais pas trop souvent quand même) aux élèves de porter leur planche le long du chemin.
Tant bien que mal, il a tout de même réussi à finir la saison 2021.
La panne de la batterie de Pégasus, le camion en plein mois d’août alors que l’activité battait son plein. La Ganach Surf School s’est alors transformée en mécanicien à la frontale. Heureusement, il a pu compter sur sa formidable compagne pour lui porter assistance et lui en trouver une nouvelle batterie au plus vite.
Ensuite, parlons du claquage à l’abducteur en plein été ! Les blessures sont un des principaux risques du métier. À force d’utiliser son corps, on arrive à le fragiliser. Et voilà le drame !
Cela ne l’a cependant pas empêché de se mettre à l’eau à chaque session, accompagnant les élèves plus motivé et motivant les uns que les autres.
Nous pouvons également aborder les ailerons qui ont cassé occasionnellement et qu’il a vite fallu réparer entre deux séances sous peine de voir de belles cascades à répétitions. Non pas qu’il soit impossible de surfer sans ailerons, mais cela s’adresse toutes fois à un public plus expérimenté.
Après, il y a eu les désistements inattendus de certains clients ayant oublié de prévenir de leur changement de programme. Privant d’autres personnes de participer au cours.
Et pour finir la journée, il y a l’interminable manutention du matériel. Après avoir utilisé les combinaisons toute la journée, il faut désormais vite les rincer, les faire sécher pour le lendemain !
Une pensée pour les arbres du jardin qui ont supporté des dizaines et des dizaines de combinaisons toutes les nuits pendant 2 mois.
Plutôt que de compter les moutons, il compte les combinaisons
Ça y est, le jour se lève. Et le Moniteur est prêt à recommencer une journée avec son lot de joies et de surprises !
Après un grand café, il faut préparer les planches et les combinaisons pour la journée. Muni de son agenda papier, on fait le récap des besoins de matériel pour la journée et on charge le tout dans Pégasus, son fidèle compagnon le Volkswagen T4. Bien sûr, personne n’est parfait et il y a eu quelques oublis au cours de la saison. Mais rien de bien grave ! Il y a encore bien d’autres situations stressantes mais cela n’a en rien altéré la motivation du Mono’ ; bien au contraire ! Une histoire sans encombre n’aurait été pas si belle, non ?
Le bureau plein de sables !
Quand on pense au métier de Moniteur de surf, on imagine de suite la chance de passer sa journée sur la plage. Quel cadre de travail incroyable ! Qui a la chance d’avoir un bureau sur la plage ? On ne vous dira pas le contraire, le métier de professeur de surf n’est pas si terrible. La vue, tant qu’il n’y a pas de parc éolien n’est clairement pas désagréable.
Mais dans la réalité du métier, vous avez vu systématiquement le Mono avec son chapeau et son masque de crème solaire sur le visage ! Et ce n’est pas pour rien ! Le Mono a une peau fragile ! L’eau salée et le soleil ne l’épargne pas ! Il est donc contrait de se protéger minutieusement !
Cependant, même pour les jeunes Padawan il est vivement recommandé de ne pas oublier sa crème solaire, ses lunettes, son chapeau, ses tongs ou sandales et surtout de l’eau pour se réhydrater !
Les principaux acteurs, c'est vous !
Toute cette aventure n’aurait pas été possible sans vous. Toi, le champion de la glisse improbable, toi la surfeuse née qui ne le savait pas encore, toi avec ton énergie et ta bonne humeur incroyable, toi qui revient toujours plus déterminé que jamais, c’est grâce à vous tous si la saison a été si riche en émotion.
Pour le Mono, son but premier est de vous faire passer un vrai bon moment de vie à travers l’expérience de la glisse. Si vous avez ressenti une émotion intense lors de votre venue, cela est tout à fait normal !
Et si vous ne l’avez pas perçu ? Il est fort probable que vous ne soyez pas encore venu tenter l’expérience !
On ne le dira jamais assez, mais merci pour tout ce que vous lui avez apporté lors de cette première saison 2021.
Et maintenant ?
On reprend les mêmes (en mieux) et on recommence ! Pégasus, le super camion va se faire un lifting chez le garagiste; le chariot lui va subir une incroyable transformation (attention les yeux, on garde le secret pour le moment!), le Mono’ lui a prit de bonnes vacances, s’est bien reposé, et sera plus que prêt pour démarrer les cours de surf pour l’été 2022.
Cette nouvelle année s’annonce encore plus riche en projet, en partage et en émotion !
Le Mono’ peut vous certifier qu’il a plus que hâte de vous accompagner sur son terrain de jeu favori !
À très vite,